Vous avez terminé une première fois Mass Effect 1, puis une seconde fois, atteint la limite des 10 millions de crédits moins un, monté au maximum votre jauge de Conciliation ou Pragmatisme, vous êtes donc fin prêt à vous lancer dans sa suite en important votre sauvegarde.
L’avantage pour moi, qui a commencé l’aventure en retard, c’est que je n’ai pas eu à attendre deux ans avant de reprendre les manettes du Normandy et du commandant Shepard 🙂
L’un des meilleurs trailers que je connaisse,
sur la musique Heart of Courage (Two Step from Hell)
Introduction et 5 minutes de Spoiler
– Shepard c’est très bien débrouillé, mieux que nous aurions pu l’espérer. La Citadelle est sauvée, le Conseil également, jamais l’humanité n’a été aussi forte …
– Les humains ont gagnés le respect du Conseil, mais Shepard reste notre meilleur chance.
– Mais ils l’envoient combattre les Geths, les Geths ! Les Geths ne sont pas la vrai menace. Les Moissonneurs sont toujours là …
Extrait d’une transcription de Cerberus
entre Miranda Lawson et l’Homme Trouble
Le deuxième opus commence quelques semaines après la fin du premier clôturé par la bataille de la Citadelle, et comme le dit l’agent de Cerberus : le Conseil ne semble pas avoir pris la mesure de la menace des Moissonneurs ; c’est à se demander si je n’ai pas fait une erreur en lui sauvant la mise(1). Résultat, le Normandy se retrouve dans les Systèmes Terminus(2), à enquêter sur des disparitions de vaisseaux, mais pourtant aucun signe d’activités Geths.
Et puis [ après tout on ne va pas vous laisser glander trois mois sans rien faire 🙂 ] un croiseur inconnu apparaît sur les scanners longues portées, et malgré les systèmes furtifs du Normandy, il passe en trajectoire d’interception avant d’attaquer.
Le fleuron de l’Alliance, qu’est le Normandy, ne fait malheureusement pas le poids, et il ne vous reste plus qu’à réintégrer le corps du commandant Shepard pour procéder à l’évacuation du vaisseau et surtout récupérer cette tête de mule de timonier, Joker, qui refuse d’abandonner le navire.
Une petite sortie hors-atmosphère plus loin, vous traînez Joker dans une capsule de sauvetage, mais êtes malheureusement repoussé pas une explosion. La dernière vision que l’on aura de vous, sera votre scaphandre perdant son oxygène et entraîné par la gravité d’une planète proche !
Shepard est mort, mais c’est sans compter Cerberus, un groupuscule pro-humain, que certains qualifieraient de terroriste, qui récupère sa dépouille et tente grâce au Projet Lazare, de le ramener parmi les vivants : cela prendra deux années et plusieurs milliards de crédits, mais il sera Shepard tel qu’il était avant, avec quelques améliorations en plus.
Cerberus, cela vous dit quelque chose, non ? Mais si, rappelez-vous des missions du premier épisode, c’est ce groupe responsable de la mort de l’amiral Kahoku, et qui a fait des expériences avec tout ce qui était un peu tant soit peu vicieux dans la galaxie : du Dévoreurs aux Zombies geths et thoriens, en passant par les Rachnis ; de charmantes personnes sans aucune éthique en somme.
Mais bon, à part suicider Shepard, vous pourriez faire quoi ? Et puis il y a cette histoire de colonies humaines, qui disparaissent sans laisser de traces …
Les Récolteurs, cette race d’extra-terrestres énigmatiques, peut-être ?
Reconstruction et création de personnage 2.0
Si vous n’importez pas de sauvegarde de Mass Effect 1, votre historique sera fixé : origine comme choix du précédent épisode ; en fait vous ne choisirez que votre sexe avant de passer à l’introduction décrite plus haut. La création de personnage, la vraie, ne se fera qu’après la « mort » de Shepard.
Une magnifique vidéo, qui détaille votre reconstruction plus loin, les écrans de création de personnage s’affiche enfin. Outre le sexe que vous avez sélectionné plus tôt, on ne peut plus que choisir trois autres critères : votre apparence et votre profession militaire, et cela, même si c’est un personnage importé, et une capacité bonus, si vous importez une précédente partie de Mass Effect 1 ou 2.
Chose étrange, même si vous changez votre profession et votre visage, toutes vos anciennes connaissances vous reconnaîtront quand même !
C’est clairement moins que dans l’épisode précédent, mais on peut trouver normal de ne pas avoir à tout redéfinir pour un import ; pour des premier joueur il faudra s’essayer à la DLC Genesis(3) pour pouvoir construire votre Shepard sans vous taper le premier opus.
Pour ma part, je suis restez cohérent, et j’ai donc rempilé avec la profession de sentinelle et le visage par défaut.
Deux années plus tard dans une station de Cerberus, vous êtes réveillé avec un peu d’avance par les alarmes : la base est attaquée. Vous êtes en convalescente, les Mécas y vont mollo avec vous, et vous vous arrivez à vous enfuir avec les deux derniers agents survivants : Miranda Lawson et Jacob Taylor.
Suit alors un dernier débriefing avant que l’on vous emmène voir l’Homme Trouble. Ce sera l’occasion de définir le seul point de Mass Effect 1 qui n’est pas importé : si vous pensez avoir fait une erreur en choisissant cette raclure d’Udina à la fin de la bataille de la Citadelle, vous pouvez toujours revenir en arrière.
Des anciens et des nouveaux principes de jeu
Il y a de nombreux changements dans ce nouvel épisode, avec tout d’abord une grande simplification de la partie RPG.
Exit l’inventaire, vous ne pourrez plus choisir l’armure, les armes et les mods de votre équipage, ça c’est fini. À la place quand vous récupérerez des composants d’amélioration, vous aurez la possibilités d’utiliser le laboratoire de votre vaisseau pour augmenter :
- les capacités biotiques ou technologiques de tout le commando ;
- toutes les armes d’un certains types (pistolets lourds, mitraillettes, …) ;
- ou votre vaisseau lui-même, ce qui est d’ailleurs vital pour la dernière mission du jeu.
Le principe de l’amélioration n’est pas mal, mais ça simplifie un peu trop à mon goût, mais au moins, il n’est plus nécessaire toutes les deux ou trois missions de transformer le trop plein de votre inventaire en OmniGel. Attention, ces upgrades sont en nombre limités et parfois cachés, et c’est beaucoup plus gênant de passer à côté que de louper un conteneur du premier jeu.
Vos millions de crédits ont aussi disparu, et il y a à peine assez d’argent (DLCs incluses) par acheter toutes les améliorations dans les magasins. Je suis persuadé que Cerberus s’est remboursé sur mes deniers pour financer le projet Lazare !
La feuille de personnage à prix aussi une belle claque, comme on peut le voir, et l’on est désormais bloqué après le trentième niveau.
Fini les compétences d’électronique et de piratage, cette fois le déblocage des mini-jeux sera automatique, et en plus ils collent bien plus à l’esprit : relié des points sur une carte électronique façon memory, ou recoller des morceaux de textes piratés. C’est beaucoup plus sympa, mais cette fois il n’y aura plus de seconde chance à coup d’OmniGel : ou vous réussissez ou vous faîtes une croix dessus, pire les combats ne sont plus stoppés pendant les piratages et le moindre dégât vous fera échouer.
Il y a d’ailleurs un magnifique Easter Egg sur le sujet dans la DLC du Courtier de l’Ombre, où Shepard se plaint auprès de Liara, en évoquant le bon vieux temps, où il suffisait d’un peu d’OmniGel pour tout cracker.
On a toujours le Choix
Les compétences de Charme et d’Intimidation ont certes disparu, mais ce n’est pas le cas de la Conciliation et du Pragmatisme, mais désormais les répliques spéciales se débloqueront suivant vos valeurs de jauges ; à mon sens c’est beaucoup plus logique.
Par contre il n’est plus possible de faire un chevalier entièrement blanc ou entièrement noir, certains passages obligés du jeu, vous rapportent aussi bien des points de conciliation que des points de pragmatisme, c’est le cas par exemple de la mission de recrutement du professeur Solus. Faîtes-vous une raison !
Une petite nouveauté vient quand même se greffer à l’existant : durant les dialogues une petite icône bleu ou rouge pourra apparaître temporairement sur votre écran, si vous êtes assez réactifs et cliquez sur le bouton adéquate de la souris, vous déclencherez une action en rapport avec la couleur de l’icône : par exemple retenir et enguirlander un Volus, qui importune une pauvre Quarienne pour une conciliation, ou électrocuter un ingénieur des Soleils-Bleus qui répare un astronef et qui pourrait vous donner du fil à retordre par la suite, pour un pragmatisme.
Les combats
C’est le gros point d’amélioration de la série, les combats sont désormais beaucoup plus fluides et dynamiques, on a plus l’impression de déplacer un mannequin : Shepard peut se baisser, se cacher derrière des obstacles, jeter un coup d’œil au-dessus ou sur le côté avant de tirer, ce n’est pas grand chose mais ça rend l’ensemble beaucoup plus nerveux et réaliste.
De même on peut enfin constater les effets quand on tire sur les points faibles des adversaires, comme les têtes et les mitrailleuses des Mécas, qui explosent ou deviennent hors d’usage.
Enfin bref ce qu’on attend d’un F.P.S de nos jours.
Côté arme, on nous ressort les 4 types de bases du premier (pistolet, mitraillettes, fusils d’assaut et fusils à pompe), ainsi que les grenades(4), auxquels on rajoute les armes lourdes : lance-flammes, lance grenades ou roquettes, et même une arme un peu spéciale : le M-920 Cain, cher à obtenir, lent à utiliser, mais au combien dévastatrice. Cela permet d’affronter des adversaires beaucoup plus coriaces, que le mercenaires de base, comme des Mécas d’assaut et même un dévoreur.
Par contre à moins d’avoir choisi la classe de soldats, toutes les armes ne sont plus disponibles, ce qui est assez logique en fait : en sentinelle par exemple je n’ai plus accès qu’aux pistolets et aux mitraillettes.
Côté pouvoir, il y a eu aussi de grosses améliorations, et je les trouve beaucoup plus utilisables que précédemment, surtout pour ce qui est des pouvoirs biotiques, qui permettent désormais de tirer en courbe pour atteindre des adversaires planqués.
Le MediGel est toujours là, mais comme il vous suffit de vous cacher et de rester tranquille quelques secondes pour vous récupérez vie et boucliers, il ne servira plus qu’à ranimer vos alliés. C’est un peu dommage, j’aimais bien la différenciation entre niveau de vie et bouclier, sachant que seuls ces derniers pouvaient se régénérer(5).
Pour finir un seul regret, l’apparition des cartouches thermiques, qui font office de munitions, même si leur utilité n’est que d’évacuer la chaleur des armes.
Quand votre dernière cartouche thermique est usé, votre arme est inutilisable, et pour certain combat très long, il va falloir vous rationner, je pense en particuliers au combat optionnel, qui vous fera affronter 180 Mécas standards et un Méca d’assaut, heureusement que j’ai investi dans les pouvoirs techs.
Exploration spatiale et nouveau vaisseau
Le Normandy SR1 est détruit, vive le Normandy SR2 reconstruit par Cerberus : plus grand, de plus d’une fois et demi, plus beau, en grande partie grâce à un éclairage plus lumineux(6) et surtout plus confortable avec des revêtements de sièges est en cuir !

Le version SR2 de Cerberus en haut et l’ancienne en bas
Dans les autres avantages notables de ce nouveau vaisseau, on retrouve : une cabine du commandant beaucoup plus grande et pourvu d’un aquarium et d’un hamster de l’espace(7) ; une armurerie et un laboratoire de recherches dernier cri, des cabines pour l’équipage, un séjour de détente avec un bar, et surtout des salle de bains avec toilettes ! Sérieusement je ne sais pas comment l’équipage faisait entre les escales dans le premier épisode.
Et puis il y a I.D.A la nouvelle intelligence artificielle greffée au Normandy, qui sera toujours là pour prodiguer de bons conseils et faire enrager Joker, votre ancien et nouveau timonier, qui n’apprécie guère d’ailleurs.
Grâce à ce nouveau vaisseau vous allez très vite oublier la précédente version, en plus l’ascenseur qui permet d’accéder aux différents ponts, et bien plus rapide que les escaliers et le monte-charge de l’ancien.
Même si les déplacements se font de la même façon, à travers la carte de la galaxie, vous devrez gérer les déplacements intra-systèmes, et surtout votre carburant, pour éviter de tomber en panne sèche et de devoir utiliser de précieuses ressources.
Par contre comme l’exploration en Mako n’avait que moyennement était appréciée, elle a tout bonnement été supprimée, et l’on effectue désormais les scans à bord du Normandy. Une fois une planète sélectionnée, on déplace un réticule sur sa surface pour voir les ressources disponibles et on envoie une sonde pour les récupérer si celles-ci sont intéressantes. C’est tout aussi fastidieux qu’avant mais ça a le mérite d’être rapide.
Parfois vous détecterez en plus un signal étrange et vous pourrez vous poser pour investiguer :
- en équilibre sur un vaisseau au bord d’une falaise,
- sur une planète à atmosphère très acide, où l’on ne voit pas à 2m,
- dans des avant-postes de mercenaires,
- …
Ça reste des environnements fermés, mais ils ont le mérite d’être tous différents, surtout comparés au 1, qui ne proposait que deux modèles de bâtiments et un de grotte.
Les dialogues
Le principe de la roue de dialogue marchait bien, il a donc été conservé, c’est simple et c’est strictement comme avant, si ce n’est l’ajout des interrupts évoqués plus haut.
Par contre avant vos coéquipiers se tenaient un peu et ne discuter que dans les ascenseurs et dans quelques rares dialogues, désormais ils ne peuvent plus s’empêcher de faire des remarques. De toute façon, même vos adversaires piaillent pendant les combats désormais (j’ai perdu la cible, ils envoient du lourd, …). Même s’il n’y a plus de temps de chargement masqués par des ascenseurs, l’humour est toujours là :
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Garrus : Personne ne veut me dire à quoi je ressemble avec cette opération. Dites moi votre point de vue, Shepard.
Shepard : Ne vous inquiétez pas Garrus, vous avez toujours été moche.
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Shepard : Toi ? J’ai dit un dur a cuire, pas un éclaireur qui gémit comme un Quarien qui a la courante !
Tali : Je suis là, vous savez!
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Shepard : (A un officier de police Asari) Vos supérieur vous envoient à la mort sans raison valable. Vous êtes en droit de leur désobéir.
Kasumi : Faudra qu’on s’en souvienne la prochaine fois que Shepard nous enverra au casse-pipe.
Tali : Soit environ deux fois par jour.
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Une vieille connaissance Asari de ME1 : Bon, maintenant qu’on a terminé je vais y aller : la dernière fois qu’on s’est vu j’ai fait la course avec un champignon nucléaire, alors je vais prendre un peu d’avance …
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Wrex : (En parlant de Hokir à Grunt) Évidemment qu’il est mort : tu es avec Shepard.
Point fort : les personnages
Le point fort du premier épisode reposé sur le scénario, pour le deux ce sont ses personnages et en particuliers votre équipage. Ils sont tous très détaillés et ont de vrais problèmes, près des trois-quarts du jeu correspond à leurs recrutements et à leurs missions de loyauté, c’est dire s’ils sont au centre de l’histoire.
Jacob Taylor
Un ex-biotique de l’Alliance, qui a rejoint Cerberus, dégoûté qu’il était par la paperasserie et la bureaucratie. Comme dit Joker : Jacob, c’est un type beaucoup trop sympa pour connaître autant de manières de tuer.
Miranda Lawson
Le second agent de Cerberus de l’équipe, elle en charge du projet Lazare. C’est l’équivalent d’une Sentinelle (biotique + tech), un peu trop parfaite, ses capacités sont très supérieures à celles d’une humaine normale, on apprend plus tard pourquoi.
Mordin Solus
Un génie Galarien ancien du G.S.I (le Groupement Spécial d’Intervention Galariens), qui donne l’impression d’avoir à faire un hamster hyperactif, vous le récupérez dans les systèmes Terminus. Mais ne le laissez jamais trop parler et surtout jamais chanter.
Garrus Vakarian
Votre vieil ami Turien du précédent épisode, un peu moins rigide que précédemment, mais bon c’est un Turien. Joker : Oh vous avez retrouvé Garrus ! Super, je les adore tous les deux, lui et le balai qu’il a dans le cul.
Un Krogan élevé en cuve pour tenter de vaincre le génophage, une véritable bombe à retardement, mais un atout considérable à la force de frappe de votre commando. Joker : Grunt est… tout sauf un facteur de calme, commandant.
Jack
Le crane rasé, et habillée uniquement de tatouages au dessus de la ceinture, elle est bardée de pouvoirs biotiques et est particulièrement instable, en plus elle ne supporte pas Cerberus, ça promet ! Joker : Je ne dirais rien sur Jack. Je suis pas con non plus.
Tali’Zorah vas Neema / vas Normandy
Une autre ancienne recrue du Normandy SR1, qui a fini son pèlerinage depuis. Elle a grandement gagné en maturité pendant ces deux années, et fait office de spécialiste sur les Geths pour son peuple. C’est un de mes personnages préférés.
Thane Krios
Le premier Drell, que vous rencontrerait. C’est un assassin particulièrement religieux, recruté sur Illium. Joker : c’est un peu l’exemple parfait du type gouverné par ses émotions : l’amour, l’amitié, les petits oiseaux cui-cui, le meurtre de sang froid.
Une probatrice, c’est-à-dire une Asari qui a renoncé aux possessions matérielles, hormis quelques armes et une armure, et dont le but est de redresser les torts, selon un ancien code. C’est un peu tout blanc ou tout noir avec elle, méfiez-vous.
Légion
… DONNÉES INDISPONIBLES …
Administrateur Shepard, demande autorisation
… ACCÈS EN COURS …
Nous sommes Légion, car nous sommes nombreux.
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Et puis il y a aussi les autres membres d’équipages, qui ne font pas partie des commandos : des têtes connus comme Jeff Moreau (Joker) le timonier ou le docteur Chakwas, qui était déjà à bord de l’ancien Normandy ; ou des toutes nouvelles comme celle du quartier-maître Kelly Chambers et des deux techniciens : Gabriella Daniels (Gabby, l’ami des tous petits) et Kenneth Donnelly (Ken).
- Joker
- Dr Chakwas
- Kelly
- Gabby
- Ken
Vous vous attacherez très vite à tout ce petit monde, même aux plus insupportables. Et j’espère bien que vous ferez tout votre possible, pour qu’ils survivent à la dernière mission suicide. Si si, c’est possible, même pour Kelly et dans une moindre mesure Mordin.
Contenus téléchargeables et autres DLCs
Rachat par E.A oblige, cette fois le jeu est beaucoup plus fourni en DLCs, si certaines sont gratuites, la majorité en est néanmoins payante, ce qui est dommage car certaines sont vraiment excellentes.
Zaeed, le prix de la vengeance
L’une des rares DLCs gratuite et fournie dès la sortie du jeu. Elle introduit un nouveau personnage et sa mission de loyauté : Zaeed Massani, un chasseur de prime et un vrai dur. Il a d’ailleurs la même cicatrice que le sergent Barnes du film Platoon.
Site de Crash du Normandy
Gratuite, mais très courte et pas forcément utile. On a juste accès à la zone de crash du Normandy SR1, où vous pouvez alors récupérer les dog-tags des anciens soldats du Normandy.
Gratuite aussi. C’est un essai pour contenter tous les déçus de la disparition du M35 Mako : quelques cartes à parcourir à bord du M44 Hammerhead, et une jolie décoration pour votre cabine à la clef.
Kasumi, la mémoire volée
Encore un personnage supplémentaire, en la personne de la maîtresse des voleurs : Kasumi Goto(8). C’est l’un de mes personnage préférés et elle a toujours une bonne réplique en réserve : qu’elle se plaigne de s’être habillée en noir sur une planète balayé par les U.Vs, ou lorsque qu’elle dit, quand Shepard déclenche les alarmes de la Citadelle : je vous jure cette fois, ce n’est pas moi !
Elle a probablement la mission de loyauté la plus intéressante du jeu, et forcément c’est un casse, avec quelques clins d’œil à Ocean Eleven en plus.
Pack Suprématie
Une cellule de Cerberus travaillant sur les Geths ne répond plus. Sans être la meilleur DLC du jeu, elle est assez fournie et contient quelques éléments intéressants, comme la partie en réalité virtuelle.
Le Courtier de l’Ombre
La DLC à ne pas manquer ! Elle permet de rejouer avec Liara T’soni, qui est partie en croisade contre le Courtier de l’Ombre. Si vous avez lu le comics Rédemption, vous avez tous les raisons d’en vouloir aussi au Courtier et donc de l’aider.
Une enquête, une poursuite en voiture, des combats sur les flancs d’un vaisseau, n’hésitez pas.
L’arrivée
J’aime moyennement cette DLC, que je trouve vraiment trop Pragmatique ; mais elle permet de faire le lien entre les épisodes 2 et 3.
L’amiral Hacket vous envoie sauver une chercheuse humaine, qui a été capturée par des Butariens, mais il y a beaucoup plus derrière cette mission qu’un simple enlèvement, et les Moissonneurs arrivent …
Keelah Se’lai [quarian : par mon monde natal, que j’espère voir un jour]
Et occupez-vous bien de vos poissons !
(1) : le triumvirat peut aussi être mort, si vous avez préféré les abandonner dans le précédent épisode, mais attention vous perdrez alors un certain nombre de ressources de guerre pour Mass Effect 3. De plus même si le Conseil a été « renouvelé », il ne suivra pas plus les mises en garde de Shepard.
(2) : une zone de la galaxie, qui est hors de la juridiction du Conseil de la Citadelle.
(3) : si quelqu’un s’y est essayé, je suis preneur d’un avis.
(4) : avec une mention spéciale, sur l’effet graphique des grenades aveuglantes, qui est particulièrement réussi.
(5) : ce n’est pas totalement vrai, puisqu’un mod d’armure permettait d’avoir un assistance médicale, qui permettait de se régénérer très lentement.
(6) : c’est à croire que l’Alliance cherchait par tous les moyens à diminuer sa facture énergétique, ou alors que Cerberus a écouté les conseils de Stéphane Plaza.
(7) : un clin d’oeil à Boo de Baldur’s Gate.
(8) : la traduction japonaise de son nom est justement : voleur.
Ouh là que ça va être long pour tout lire 🙂 Mais bon j’ai quasiment tout fini.
Tu aurais pu rajouter dans les ajouts louables, le fait d’avoir mis des pourcentages d’exploration sur les différents systèmes, c’est peu, mais qu’est ce que ça aide.
… Administrateur Separd … j’ai beaucoup aimé.
C’est clair que le pourcentage d’avancement sur les systèmes aide beaucoup, je n’ai plus besoin de ressortir ma feuille excel.
Administrateur Shepard, c’était pour pas spoilié
tu as parlé de Boo, mais tu as oublié Chatika vas Paus, le drone de Tali.
Vise les yeux chatika, vise les yeux !
Mais si il faut laisser chanter Mordin :D.
Ma 2e partie arrive à sa fin et ça reste mon personnage préféré (avec Garrus bien sûr, faut pas déconner).
C’est que tu ne l’as pas entendu chanté dans la DLC Citadelle du 3 🙂
[…] : Rayons pour Sidar de Stefan Wul (roman et BD), Mass Effect – Univers, Mass Effect 1, Mass Effect 2, Mass Effect 3, Revan et l’ancienne République, Mass Effect – Last Stand, Le Château […]
Bonjour.
2016.
9/28/September
Il est la septième fois que je joue. Mais le premier en ce que le mode de difficulté maximale. ( crazy mode ).
Cet article est magnifique. Bon résumé. C’est magnifique. Photos, liens, dialogue et impressions. Ce jeu et tout l’univers de Mass Effect est grande. Andromeda sûr que nous aussi nous donner de la joie. Bioware toujours.
……..
Today: malgré les difficultés à recruter Mordin, je l’ai eu. Hier, je finis recrutement Garrus. Il était plus facile. (J’ai manipulé ma faveur la Mecque des Soleils bleus) et je me suis aventuré à quitter GVakarian seul; mais je l’ai eu. Pour l’instant, les ennemis sont difficiles Krogan et soldats flamethrower 🙂